La croissance normale des cheveux et la perte de cheveux commune

La croissance normale des cheveux et la perte de cheveux commune

La croissance normale des cheveux et la perte de cheveux commune

Cycles normaux de croissance de cheveux

Sans être dérangé, chaque cheveu de cuir chevelu de terminal pousse habituellement continuellement pendant environ trois à cinq ans. Ensuite, les cheveux transitions dans un état de repos où la partie visible au-dessus de la peau est remise. Aucun cheveu ne pousse du follicule pendant 90 jours. Une fois que cette fois est passé, un nouveau cheveu commence à croître à travers la peau et continue pendant trois à cinq ans à un taux d'environ 1/2 de pouce par mois.

On pense que jusqu'à 100 gènes sont impliqués dans la régulation de la création, la construction et le cyclisme des cheveux du cuir chevelu. À ce jour, très peu de ces gènes ont été identifiés.

Perte courante de cheveux de modèle

Hamilton-Norwood échelle de perte de cheveux
Pour ceux qui s'inquiètent de la perte de cheveux, de nombreux mythes et demi-vérités abondent, mais des informations utiles peuvent être difficiles à obtenir. Par conséquent, une vue d'ensemble objective de la perte de cheveux de modèle est présentée ici.

Chez les individus sains bien-nourris des deux genres, la forme la plus commune de la perte de cheveux est androgénogénétique alopécie (AGA), également connu sous le nom de perte de cheveux de modèle. Le désordre affecte approximativement 40 millions hommes américains. Peut-être étonnamment, le même désordre affecte environ 20 millions femmes américaines. La différence entre les hommes et les femmes est qu'une femme souffrant de perte de cheveux conserve généralement son délié féminin et les expériences d'amincissement derrière ce bord d'attaque. Chez les hommes, une «configuration » distincte de manifestes de perte où le bord frontal recule en même temps qu'une zone d'éclaircie se développe à partir de la couronne postérieure. Dans des cas plus prononcés, ces zones se rencontrent et la personne est dite cliniquement chauve.

Trois déclencheurs

Important, trois choses doivent se produire pour qu'une personne soit affectée par AGA. Premièrement, il faut hériter de la prédisposition génétique. Cela signifie que le problème vient de l'un ou des deux côtés de la famille. Deuxièmement, il faut atteindre un certain âge. Enfants de neuf ans n'éprouvent pas la perte de cheveux de modèle. Et Troisièmement, il faut avoir les hormones circulantes qui précipitent l'apparition et la progression du désordre.

Typiquement, la première apparition de l'AGA se produit à la fin de la puberté ou d'un début des années 20. En règle générale, la perte de cheveux commence plus tôt, le plus prononcé, il est susceptible de devenir.

Hormones, enzymes et autres facteurs

Cristallographie de la molécule de DHT d'un point de vue de susceptibilité, le principal déclencheur hormonal lié à la perte de cheveux de modèle est 5-alpha dihydrotestostérone, communément appelé DHT. Curieusement, il a été démontré que chez les personnes génétiquement insensibles à la DHT, la perte de cheveux modèle ne se produit pas. DHT est synthétisé à partir de la testostérone hormone androgène et est utile au début de la vie et Pendant la puberté.

Chez les adultes, DHT est pensé pour causer des dommages significatifs, mais très peu de bien. Les troubles aussi disparates que l'hyperplasie bénigne de la prostate et la perte de cheveux pattern sont tous deux déclenchés par DHT. La synthèse de DHT se produit par deux formes étroitement apparentées de l'enzyme 5-alpha réductase. Les options de traitement de perte de cheveux qui interfèrent efficacement avec l'interaction entre la 5-alpha réductase et les hormones d'androgène comme la testostérone ont été montrées pour offrir l'avantage clinique en traitant la perte de cheveux de modèle.

Comme la croissance des cheveux est régulée par de multiples gènes et par des voies biochimiques concomitantes, les facteurs sous-jacents sont extrêmement complexes. Un autre défi à comprendre la perte de cheveux a été le fait que les humains, seuls parmi les mammifères, souffrent de l'alopécie androgénogénétique. Ainsi, il n'existe pas de modèle animal efficace qui, autrement, tendrait à faire la lumière sur les facteurs clés au travail.